« J’ai découvert les encres de Sandrine Talamon pendant le premier confinement aux mois de mars et d’avril 2020. Réalisées chaque jour sur des fonds blancs, noirs ou de couleurs, comme des gestes instinctifs couchés sur le papier et des étapes de recherche du mouvement. Ces œuvres journalières reflètent selon moi un ébranlement et l’écoulement du temps comme le disait et le dessinait l’écrivain-artiste Henri Michaux. »
Stéphanie Peyrissac
 
Sandrine Talamon
 
Sandrine Talamon est une artiste autodidacte qui  fréquente plusieurs ateliers d’artistes depuis 1999.  En 2010, elle obtient le prix du jury de l’atelier « Matière et couleur » de Marie-Christine Zervudacki de l’université inter-âges de Versailles.
 
Ces dessins à l’encre et  techniques mixtes sur papier réalisés chaque jour pendant la période du confinement de mars à mai 2020 se situent sans aucun doute à un moment charnière dans la réflexion de Sandrine Talamon. 
 
Ce sont des œuvres expérimentales dans lesquelles l’artiste y a couché des gestes instinctifs. Il y a aussi un travail sur la recherche du mouvement et sur les couleurs. 
Ces œuvres journalières reflètent également un ébranlement et « l’écoulement du temps » comme le disait et le dessinait l’artiste-écrivain Henri Michaux.